quelque part sur l'île

Un chapeau à la Gilligan sur un crâne chauve, un polo qui s’est frotté longtemps au soleil, bermudas et sandales.

Un garçonnet aux couettes affolées par le vent, raquette de badminton dans la main. Il rit.

Des pas enjoués qui courent sur les cailloux brûlants, dans un de ces instants où tout le poids du monde s’évapore et devient lumière.

Le regard fier et complice d’un père s’adresse à vous. On sourit tous dans ces moments-là.

Vous mettez les mains dans vos poches. Une crème glacée, ce serait bien.