c'est qu'ils couvent

Lectorat infime, je te néglige. Si je n'ai que peu de mots présentement, c'est qu'ils couvent, souriants, sous le sable chaud de la plage. Je peux cependant t'offrir ceci, un noeud qui démêle:

« On a cédé sa place à l'ombre, par fatigue, par goût du rond. [...] Autrefois, quand la Terre était solide, je dansais, j'avais confiance. À présent, comment serait-ce possible? On détache un grain de sable et toute la plage s'effondre, tu sais bien. »

- Henri Michaux, La Ralentie